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Natascha Stellmach se révèle : une interview exclusive avec Nadine Dinter

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  • 🎨 Point clé #1 : L’interview exclusive avec Nadine Dinter dévoile une facette intime et révélatrice de l’artiste Natascha Stellmach, entre confession et mémoire.
  • 🖋️ Point clé #2 : La pratique artistique de Stellmach, notamment son projet THE LETTING GO, mêle performance, tatouage sanguin et rituel, pour explorer la vulnérabilité et le lâcher-prise.
  • 🩸 Point clé #3 : Un processus à la fois intime et participatif, loin des codes habituels du tatouage, qui engage pleinement corps et esprit du participant.
  • 📸 Point clé #4 : Son regard photographique équilibre pudeur et révélation pour créer des portraits qui interpellent sans dévoiler tout, invitant à l’empathie et à la construction de récits personnels.

L’interview exclusive de Natascha Stellmach par Nadine Dinter : un dialogue de révélations artistiques

C’est dans un cadre intime que Nadine Dinter, directrice d’une agence de relations publiques spécialisée en art, donne la parole à l’artiste plurielle Natascha Stellmach. Leur entretien ébranle les frontières entre l’œuvre et la personne, le visible et l’invisible, à travers des confidences nourries par une mémoire riche et un dialogue intense.

Ce dialogue est bien plus qu’une simple interview : il s’agit d’un véritable portrait où la photographie, la performance et la psychothérapie se croisent. Natascha, avec son parcours à la croisée de plusieurs cultures – australienne et allemande – nous plonge dans une traversée émotionnelle qui éclaire sa pratique à travers un prisme profondément humain et universel.

Les prémices de ce projet singulier remontent à 2013 lors de l’exposition I Don’t Have a Gun à Berlin, un événement marquant où l’artiste a présenté pour la première fois THE LETTING GO. Dès ce moment, la révélation fut palpable : ce travail va bien au-delà du body art, c’est une exploration intime des blessures et du lâcher-prise à travers le tatouage sanguin.

Cette interview menée par Nadine Dinter, elle-même collectionneuse et fervente admiratrice de cette forme d’expression singulière, donne accès à des facettes insoupçonnées de Stellmach. Pour mieux comprendre l’ampleur de cette démarche, tu peux consulter cet entretien approfondi avec Nadine Dinter qui éclaire les enjeux du projet.

À travers ce portrait, tu comprends comment Natascha articule un art qui fait corps avec la psyché, tout en gardant un ancrage dans des pratiques rituelles et corporelles souvent méconnues, mais ô combien puissantes.

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THE LETTING GO : une pratique artistique entre tatouage sanguin et rituel de lâcher-prise

Depuis 2012, Natascha Stellmach développe THE LETTING GO, un projet qui redéfinit la notion de tatouage en explorant une forme d’éphémère profondément symbolique. Ici, la peau devient le support d’une « blessure-mot » inscrite sans encre, par le biais d’un tatouage sanguin — une expérience holistique, mêlant méditation, rituel et performance.

Le procédé consiste en une séance individuelle qui dure plusieurs heures, rythmée par une méditation guidée et une réflexion sur ce que l’on veut véritablement « laisser aller ». Le mot inscrit est une forme de confession gravée dans la chair, qui s’efface naturellement avec la guérison, invitant ainsi à une métaphore corporelle du processus de libération.

Ce choix artistique est à la fois audacieux et délicat. Loin des pratiques modernes souvent axées sur la permanence et la technique, THE LETTING GO privilégie le passage, l’éphémère et la transformation. Cette méthode nécessite un cadre strict en termes de santé et de confidentialité, renforçant la confiance nécessaire pour s’exposer à une telle intimité.

Le parcours de Natascha, de son métier initial d’ergothérapeute à ses formations auprès de moines tatoueurs en Thaïlande, porte cette recherche à un autre niveau. Sa dualité culturelle, ainsi que son bagage en psychothérapie, nourrissent pleinement cette démarche qui vise à exposer « la merveille dans nos blessures ».

Cette approche n’est pas seulement artistique, elle est aussi profondément humaine et spirituelle. Elle propose une alternative puissante au parcours classique de confrontation à ses souffrances, en invitant à un « letting go » conscient à travers la pratique de l’art et du corps.

Pour ce qui est de mieux comprendre cette méthode, les protocoles de sécurité, ainsi que l’implication émotionnelle des participant·e·s, tu trouveras de nombreux détails passionnants dans le travail présenté sur le site officiel de Natascha où son parcours est mis en lumière.

Déroulement en 6 étapes clés de la séance THE LETTING GO

  • 🧘‍♀️ Méditation guidée pour accueillir le moment et inviter à l’introspection.
  • 🗣️ Discussion sur l’obstacle personnel à travailler.
  • 🩸 Tatouage sanguin sans encre inscrivant le « mot-blessure ».
  • 📷 Prise de portrait ou photographie intimiste du participant·e.
  • 🩹 Suivi attentif de la cicatrisation.
  • 🕊️ Libération progressive, symbolisée par la disparition naturelle du tatouage.

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L’art de la photographie intimiste chez Natascha Stellmach : entre pudeur et révélation

La photographie est un élément fondamental dans le projet THE LETTING GO. Natascha ne se contente pas de capturer une image, elle crée un pont entre la vulnérabilité de ses participant·e·s et l’œil du spectateur. Son travail photographique est pensé pour respecter la dignité et le mystère, tout en soulignant le poids émotionnel du lâcher-prise.

Chaque portrait est unique et s’adapte au vécu et au confort de la personne. Que ce soit un visage dévoilé avec consentement, ou juste un détail – un bras, un bijou, une cicatrice – la photographie invite à une interprétation ouverte, où le spectateur devient lui-même acteur de la lecture. Cela renforce l’empathie, un élément central pour que le projet dépasse le simple cadre de la performance.

Le souci de la confidentialité est considéré avec la plus grande sensibilité. Seuls les prénoms et la ville de résidence sont révélés, soulignant l’universalité du combat personnel, loin des identités ou stigmatisations.

Cette démarche photographique trouve un écho dans beaucoup de démarches contemporaines où l’image ne sert pas qu’à exposer, mais aussi à interroger la relation corps‑esprit. Si tu souhaites comprendre ce mélange de performance, art et intimité, l’interview exclusive disponible sur L’œil de la Photographie apporte un éclairage très pertinent.

Les secrets d’une photo réussie dans un projet de lâcher-prise

  • 🔍 Adapter la lumière naturelle pour sublimer la cicatrice et la peau sans jamais passer à la surenchère.
  • 🤝 Instaurer une relation de confiance pour que le sujet se sente respecté, libre et exposé à la fois.
  • 🎭 Trouver le juste équilibre entre révélation et mystère, en gardant une part d’énigme humaine.

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Collaboration et influences : entre rites, thérapie et arts performatifs

La singularité de Natascha Stellmach repose aussi sur la convergence de ses nombreuses influences. Issue d’une double culture australienne‑allemande, elle intègre dans sa démarche des éléments allant de la psychothérapie à la spiritualité bouddhiste, en passant par l’art contemporain et la performance. Elle a ainsi su s’entourer d’experts, notamment le psychanalyste renommé Dr Matthew McArdle, qui accompagne son projet par une analyse fine des notions de « letting go » et de lâcher-prise.

Cette collaboration enrichit le projet en apportant une profondeur intellectuelle et émotionnelle, tout en renforçant le dialogue entre art et soin. La présence d’un regard extérieur, rigoureux et bienveillant, pose aussi la dimension universelle de ces expériences, intégrées à un réseau de connaissances étendu et nourri.

Les références artistiques ne sont pas moins importantes. Influencée par Marina Abramović ou Joseph Beuys, Natascha explore le concept de « wound » (blessure) non seulement comme un stigmate mais comme un lieu de transformation. Son travail s’inscrit également dans une critique contemporaine, par exemple de la culture du tatouage classique, et interroge la place du corps, du secret et de la confession dans la société d’aujourd’hui.

Ces croisements incarnent une forme de renaissance : une redéfinition artistique où le rituel joue un rôle central, documenté dans un tableau clair résumant les convergences et influences majeures.

🎭 Aspect💡 Influence🌱 Impact sur THE LETTING GO
PsychothérapieFormation initiale et pratique en thérapieCréation d’un cadre de confiance et support émotionnel
Art performanceTravail avec Marina Abramović et BeuysExploration des blessures comme catalyseur artistique
Rite et spiritualitéÉtudes bouddhistes et tatouage rituel thaïlandaisMise en place d’une expérience holistique et méditative
Collaboration psychanalytiqueDr Matthew McArdleAnalyse approfondie et essai dans le livre à paraître

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Perspective et actualités : anticipation du livre THE LETTING GO et expositions 2026

En 2026, Natascha Stellmach lance le livre exhaustif THE LETTING GO, publié par Kettler. Cet ouvrage, mêlant mémoire, portraits, témoignages et analyses, est une véritable invitation à comprendre profondément le projet qui lui tient à cœur depuis plus d’une décennie. Il intègre une large palette d’éléments : photos évocatrices, récits personnels et selfies documentant la guérison progressive des « blessures-mots ».

Ce livre se démarque par la richesse de ses contributeurs, à commencer par une préface de l’actrice Sandra Hüller et des essais signés Kelly Gellatly et le Dr Matthew McArdle. Il vise un public ouvert, touchant autant les amateurs d’art performatif que les intéressés par la santé mentale et les rituels spirituels.

Le lancement sera marqué par des événements aussi bien artistiques que pédagogiques à Bâle en juin 2026, puis une présentation à Berlin suivie d’une exposition à Melbourne. Ces rendez-vous sont essentiels pour ressentir la matérialité et la force du projet en salle, au-delà de la simple lecture.

Si tu souhaites suivre de près ces actualités et participer à la campagne de précommande pour soutenir la production, n’hésite pas à visiter le site dédié où sont partagées les actualités et temps forts régulièrement.

Cette campagne est cruciale car elle contribue à limiter les frais personnels et garantir la qualité et l’intégrité du livre, ainsi que des œuvres exposées en parallèle. En impliquant directement la communauté, Natascha poursuit également la philosophie d’un art participatif et accessible.

Qu’est-ce que THE LETTING GO de Natascha Stellmach ?

THE LETTING GO est un projet artistique participatif qui utilise un tatouage sanguin sans encre pour inscrire un mot-représentant un obstacle personnel sur la peau, dans une démarche rituelle et méditative de lâcher-prise.

Comment se déroule une séance ?

Une séance dure entre deux et quatre heures, incluant méditation, tatouage sanguin, photographie et suivi de la guérison dans un cadre strict de confidentialité et de sécurité.

Qui peut participer au projet ?

Les participant·e·s sont sélectionné·e·s via candidature et entretien en ligne, assurant qu’aucune contre-indication médicale n’existe. Le bouche-à-oreille joue un grand rôle dans la promotion du projet.

Comment Natascha Stellmach intègre-t-elle la photographie ?

Elle réalise des portraits respectueux, souvent partiels, dévoilant subtilement la peau et la cicatrice tout en conservant l’intimité des participant·e·s.

Où et quand aura lieu le lancement du livre ?

Le lancement est prévu du 18 au 21 juin 2026 à Bâle lors de la I Never Read Art Book Fair, suivi d’un événement à Berlin en juillet et d’une exposition à Melbourne fin 2026.

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